L'homme avait utilisé les services des travailleuses du sexe pendant quatre heures. Cela lui a coûté 1100 euros, mais il n'en a payé que 325. Il a promis de récupérer le reste et a laissé son téléphone en guise de caution, mais n'est pas revenu, écrit le radiodiffuseur régional NH Nieuws .

Étape inhabituelle

L'opérateur de fenêtres Frans Snel n'en est pas resté là et a décidé de faire appel à l'huissier Koen van der Meer. Une démarche inhabituelle pour les deux, explique l'huissier au diffuseur régional. Selon lui, Snel avait également peur que l'huissier n'agisse pas dans de tels cas. "Mais tout le monde devrait pouvoir faire valoir ses droits."

Heureusement pour l'huissier, le défaillant avait dans son étui de téléphone une carte d'assurance maladie sur laquelle étaient inscrits son nom et son adresse. Il a contacté le client défaillant et s'est assuré qu'il payait.

L'opérateur de fenêtre Snel dit au diffuseur que lui et les travailleuses du sexe sont reconnaissants envers l'huissier. Selon lui, il est unique qu'un huissier défende les travailleuses du sexe. "L'huissier peut s'attendre à un bouquet de fleurs bientôt."

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